Dans cette usine, Josy, Anto, Géraldine, Solenn et bien d’autres fabriquent des soutiens-gorge de luxe. Beaucoup d’entre elles y ont passé la quasi-totalité de leur vie. Puis l’usine est délocalisée. Elles n’ont plus rien, jusqu’au moment où elles décident de ne pas se laisser faire. Alors l’atelier devient leur lieu de lutte. Elles débattent, confectionnent des banderoles, rient beaucoup aussi, lâchent prise, au péril de leur vie de famille.